Ciccolini, CD 14-16 – Liszt: „Les années de pèlerinage“ (rec. 1961, Supplément 1969), „Harmonies poétiques et réligieuses“ (rec. 1968), „Consolations“, „Légendes“, die beiden Balladen (rec. 1970) und die drei Liebesträume (rec. 1971).
Ich dachte, wir hätten einen Liszt-Thread, aber die Diskussion verlief wohl nur im Empfehlungen-Thread und möglicherweise in dem Thread hier … egal.
Ciccolini schrieb für das Booklet der EMI-Box zu einigen Stichworten ein paar Sätze nieder, so auch zu Liszt, ich will sie denn hier rasch wiedergeben:
Franz Liszt
Il ne fait jamais de mal à la main du pianiste. C’est un ami sûr, fidèle et loyal. J’ai enregistré les pièces de Liszt dont Georges Cziffra ne voulait pas. Il a refusé de faire le disque des Harmonies religieuses et poétiques que lui a demandé EMI. Pour moi, c’est un chef-d’œuvre prophétique, qui comporte des zones d’ombre. Pensée des morts a été écrit alors que la foi du compositeur traversait une crise de doute. Et la dernière pièce du cycle, Cantique d’amour, n’a aucun caractère religieux. Beaucoup de pièces de Liszt restent à découvrir … Les Années de pèlerinage est und œuvre très dense. J’adore Au bord d’une source ; un peu moins Cloches de Genève, mais c’est toujours de la très bonne musique. J’ai travaillé une dizaine de lieder de Liszt avec Elisabeth Schwarzkopf. Deux ou trois d’entre eux m’ont frappé par leur beauté.
Was die Lieder betrifft, greife ich dann wohl eher mal wieder zu denen, die Janet Baker mit Geoffrey Parsons eingespielt hat. Schwarzkopf ist bisher nicht so mein Fall (Ich weiss, „Così fan tutte“ von Karajan muss her! Und in „Le nozze di Figaro“ von Giulini hat sie auch nicht gestört).
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